Joël Andrianomearisoa

1977 (Antananarivo (Madagascar))
Vit à : Paris et Antananarivo
Travaille à : Paris et Antananarivo
Site de l'artiste

Joël Andrianomearisoa est, bien que né à Madagascar, sans doute plus proche de l’artiste de Tokyo ou de New York que de n’importe lequel de ses compatriotes. D’où la difficulté qu’il y aurait à le définir, tant les références qui le font être sont entremêlées, contradictoires, parfois. Si l’on regarde l’évolution de son travail, depuis ses premières œuvres textiles, directement inspirées par sa période styliste, jusqu’aux « sculptures plan » qu’il explore aujourd’hui, l’on s’aperçoit rapidement qu’il n’est attaché à aucune technique particulière et que, comme un alchimiste à la recherche de la pierre philosophale, il n’hésite pas à faire main basse sur toutes les formes qui pourraient apporter une autre couleur à son univers plastique.





Ses vidéos


Joël Andrianomearisoa - Les rêves et Les nuits

Rencontre et signature le lundi 20 juin 2002
« La mort est présente, pas par fascination pour la morbidité, mais parce qu’elle est un vrai moment de vie. Je suis peut-être un peu trop malgache là-dessus, parce que je donne à la mort une temporalité de l’ordre de la célébration. »
Extrait de l'entretien de Joël Andrianomearisoa et Tom Laurent, paru dans le dernier numéro de la revue Art Absolument

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Ses Livres


Brise du rouge soleil


"Architecte du lointain, de la mélancolie et du désir inachevé, Joël Andrianomearisoa ne pouvait trouver meilleure figure à draper que le rire clair de Saint Louis, plus belle cité funèbre à tendre d'oriflammes noires que les milles six cents mètres de remparts d'Aigues-Mortes, et plus troublants marécages de sel à tremper de cendre que les roses Salins du Midi." Livre édité dans l ...

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I have forgotten the night


"I have forgotten the night" est le titre de l’œuvre de Joël Andrianomearisoa, qui est présentée au premier Pavillon de Madagascar à la Biennale de Venise 2019. OEuvre monumentale de papier de soie noir qui s’accumule en une suite d’immenses plans superposés. « I have forgotten the night » est, de même, le titre du livre, à la fois catalogue de la Biennale et monographie de l’art ...

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