Inachevé, le manoir est construit dans les années 1570 par la famille Lesmais pour servir de pavillon de chasse. Habitation du seigneur de Le May, ayant droit de moyenne et basse justice, il relevait du comté de Porhoë.
Il appartient successivement aux familles Lesmais, Duplessix, Keravéon, Cambout, Montaigu et Coutance.
En ruine au XXe siècle, il est utilisé comme débarras par la ferme voisine. Son rachat par le SIVOM du canton de Saint-Jean-Brévelay et sa protection au titre des monuments historiques en 1993 ont permis le sauvetage de cet édifice. Sa propriété passe ensuite aux communautés de communes dont relève Guéhenno : Saint-Jean Communauté et Centre Morbihan Communauté. Malgré une rénovation totale en 2002, des désordres structurels apparaissent cinq ans plus tard6. Devant les frais à engager pour remettre en état le bâtiment, les élus intercommunaux décident de le mettre en vente en 2017, mettant fin à un projet de centre d'interprétation du patrimoine.
Le manoir et le colombier sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du 4 juin 1993. L'emprise au sol et la longère au sud sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du 4 juin 1993.
Il appartient successivement aux familles Lesmais, Duplessix, Keravéon, Cambout, Montaigu et Coutance.
En ruine au XXe siècle, il est utilisé comme débarras par la ferme voisine. Son rachat par le SIVOM du canton de Saint-Jean-Brévelay et sa protection au titre des monuments historiques en 1993 ont permis le sauvetage de cet édifice. Sa propriété passe ensuite aux communautés de communes dont relève Guéhenno : Saint-Jean Communauté et Centre Morbihan Communauté. Malgré une rénovation totale en 2002, des désordres structurels apparaissent cinq ans plus tard6. Devant les frais à engager pour remettre en état le bâtiment, les élus intercommunaux décident de le mettre en vente en 2017, mettant fin à un projet de centre d'interprétation du patrimoine.
Le manoir et le colombier sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du 4 juin 1993. L'emprise au sol et la longère au sud sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du 4 juin 1993.