AKAA
Quand
08/11/2019 - 11/11/2019
La foire
Pour la quatrième année consécutive, la foire d’art contemporain et design africain AKAA – acronyme d’Also Known As Africa – s’installe au Carreau du Temple. Dans la continuité de sa précédente édition, sa sélection convie des galeries et des artistes ayant un lien culturel ou esthétique avec l’Afrique, basés sur le con-tinent noir, mais aussi en Europe, en Asie ou en Amérique latine…
Au Carreau du Temple, les marchands européens comme les Parisiens André Magnin, Anne de Villepoix et Vallois – largement lié au Bénin, avec les artistes Dominique Zinkpé ou Gérard Que-num –, l’October Gallery de Londres ou la galerie Number 8 de Bruxelles sont néanmoins en nombre parmi les 44 galeries présentes. Une importance qu’assume Victoria Mann : « Il faut dé-passer les oppositions systématiques entre Afrique et Occident et s’intéresser à ces diversités, à des individualités ayant des visions à partager. » Au sein du continent néanmoins, le sud pourtant non francophone de l’Afrique emporte une forte proportion des exposants. Entre autres, la First Floor Gallery d’Harare au Zimbabwe présente Mavis Tauzeni et Amanda Mushate, Espaço Luanda Arte d’Angola les artistes VAN ou Kapuka et la Dyman Gallery, basée à Stellenbosch, Mandlenkosi Mavengere et Marguerite Roux. Reste que l’expérience des précédentes éditions prouve que AKAA peut se prévaloir d’être une foire où la découverte est assurée, et ce quelle que soit l’implantation géographique des galeries.
Extrait de l'article d'Emma Noyant, publié dans le N°90.
Au Carreau du Temple, les marchands européens comme les Parisiens André Magnin, Anne de Villepoix et Vallois – largement lié au Bénin, avec les artistes Dominique Zinkpé ou Gérard Que-num –, l’October Gallery de Londres ou la galerie Number 8 de Bruxelles sont néanmoins en nombre parmi les 44 galeries présentes. Une importance qu’assume Victoria Mann : « Il faut dé-passer les oppositions systématiques entre Afrique et Occident et s’intéresser à ces diversités, à des individualités ayant des visions à partager. » Au sein du continent néanmoins, le sud pourtant non francophone de l’Afrique emporte une forte proportion des exposants. Entre autres, la First Floor Gallery d’Harare au Zimbabwe présente Mavis Tauzeni et Amanda Mushate, Espaço Luanda Arte d’Angola les artistes VAN ou Kapuka et la Dyman Gallery, basée à Stellenbosch, Mandlenkosi Mavengere et Marguerite Roux. Reste que l’expérience des précédentes éditions prouve que AKAA peut se prévaloir d’être une foire où la découverte est assurée, et ce quelle que soit l’implantation géographique des galeries.
Extrait de l'article d'Emma Noyant, publié dans le N°90.