Eugène Dodeigne : une rétrospective II
L'exposition
Eugène Dodeigne : une rétrospective II
L’exposition Eugène Dodeigne : une rétrospective II (comme le sous-entend son titre, elle suit celle organisée en 2020, restée trop confidentielle en raison de la pandémie) propose une nouvelle réflexion sur le travail de ce sculpteur belge qui fut introduit dans les cercles parisiens et devint célèbre dès les années 1960 grâce notamment au soutien de Germain Richier. Issue d’une famille de sculpteurs, Dodeigne (1923-2015) se forma aux Beaux-Arts de Tourcoing puis dans le courant des années 1940, à Paris, successivement dans les ateliers successivement d’Henri Bondar et de Marcel Gimond.
À travers près de 200 œuvres, l’exposition pose les jalons de l’évolution artistique de Dodeigne sur 60 ans de création, révélant ses talents dans tous les domaines (le dessin d’étude, la peinture, le mobilier…), qu’il aborda suivant une esthétique expressive proche de l’abstraction. Si c’est à travers la sculpture de pierre de Soignies qu’il a acquis une renommée internationale, il s’initia à l’art de sculpter par un travail du bois au début des années 1950, avec des figures épurées, d’une grande virtuosité (L’Élan, 1954).
Par Adèle Lacassagne
L’exposition Eugène Dodeigne : une rétrospective II (comme le sous-entend son titre, elle suit celle organisée en 2020, restée trop confidentielle en raison de la pandémie) propose une nouvelle réflexion sur le travail de ce sculpteur belge qui fut introduit dans les cercles parisiens et devint célèbre dès les années 1960 grâce notamment au soutien de Germain Richier. Issue d’une famille de sculpteurs, Dodeigne (1923-2015) se forma aux Beaux-Arts de Tourcoing puis dans le courant des années 1940, à Paris, successivement dans les ateliers successivement d’Henri Bondar et de Marcel Gimond.
À travers près de 200 œuvres, l’exposition pose les jalons de l’évolution artistique de Dodeigne sur 60 ans de création, révélant ses talents dans tous les domaines (le dessin d’étude, la peinture, le mobilier…), qu’il aborda suivant une esthétique expressive proche de l’abstraction. Si c’est à travers la sculpture de pierre de Soignies qu’il a acquis une renommée internationale, il s’initia à l’art de sculpter par un travail du bois au début des années 1950, avec des figures épurées, d’une grande virtuosité (L’Élan, 1954).
Par Adèle Lacassagne
Quand
12/10/2024 - 12/01/2025