Nathanaëlle Herbelin. Être ici est une splendeur.
L'exposition
À Orsay, Nathanaëlle Herbelin converse avec les Nabis.
Dans le cadre des polyphonies du musée d’Orsay, les commissaires d’exposition Christophe Leribault et Nicolas Gausserand ont invité Nathanaëlle Herbelin à instaurer un dialogue avec les chefs-d’œuvre de ses salles consacrées aux Nabis. Un choix qui fait sens, la peinture intimiste de Bonnard, Vuillard, Valotton ou Maurice Denis ayant nourri le regard de l’artiste franco-israélienne depuis l’enfance.
Car oui, Nathanaëlle Herbelin, ancienne étudiante de l’École des Beaux-Arts de Paris, est l’une des plus remarquables représentantes de cette peinture figurative qui revient en force. « Quand je vois un Bonnard, je me réjouis comme si je retrouvais quelqu’un que j’adore », confie l’artiste dans son entretien avec Nicolas Gausserand. Les preuves de cet amour se situent dans son interprétation très personnelle du peintre tout en s’imprégnant de son travail de la lumière et en s’inspirant de ses sujets.
Extrait de l'article de Michaël Pasteger publié dans le N°110 de la revue Art Absolument. Parution le 2 juillet 2024
Dans le cadre des polyphonies du musée d’Orsay, les commissaires d’exposition Christophe Leribault et Nicolas Gausserand ont invité Nathanaëlle Herbelin à instaurer un dialogue avec les chefs-d’œuvre de ses salles consacrées aux Nabis. Un choix qui fait sens, la peinture intimiste de Bonnard, Vuillard, Valotton ou Maurice Denis ayant nourri le regard de l’artiste franco-israélienne depuis l’enfance.
Car oui, Nathanaëlle Herbelin, ancienne étudiante de l’École des Beaux-Arts de Paris, est l’une des plus remarquables représentantes de cette peinture figurative qui revient en force. « Quand je vois un Bonnard, je me réjouis comme si je retrouvais quelqu’un que j’adore », confie l’artiste dans son entretien avec Nicolas Gausserand. Les preuves de cet amour se situent dans son interprétation très personnelle du peintre tout en s’imprégnant de son travail de la lumière et en s’inspirant de ses sujets.
Extrait de l'article de Michaël Pasteger publié dans le N°110 de la revue Art Absolument. Parution le 2 juillet 2024
Quand
12/03/2024 - 30/06/2024