Après-guerre, l’art du vitrail, jusqu’alors sclérosé par la nécessité de s’inscrire dans les canons académiques, se libère. Marc Chagall, qui voit à cette période la consécration de son œuvre au MoMA comme dans les plus grands musées européens, en fait alors un terrain où exprimer son sens de la « passion » une trentaine d’années durant.


Extrait de l'article d'Emma Noyant, publié dans le N°95 de la revue Art Absolument.

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