Jean Lurçat. L’Éclat du monde

Jean Lurçat. L’Éclat du monde : Vue des tapisseries de la série    Jean Lurçat. L’Éclat du monde : Jean Lurçat - Le grand charnier, 1959. 4,40 x 7,40 m. Atelier Tabard, Aubusson. Photo musées d’Angers / F. Baglin, © Fondation Lurçat / ADAGP Paris 2016    Jean Lurçat. L’Éclat du monde : Jean Lurçat - Ornamentos Sagrados, 1966.  4,40 x 10,50 m. atelier Tabard, Aubusson. Photo musées d’Angers, © Fondation Lurçat / ADAGP Paris 2016    Jean Lurçat. L’Éclat du monde : Jean Lurçat - Dans l'Eglise Notre-Dame-de-Toute-Grace, « la femme et le dragon », Apocalypse, 1947. Assy / CNAP, photo Pascal Lemaitre/ CMN, © Fondation Lurçat / ADAGP Paris 2016   


L'exposition


Initialement « peintre », la vue en 1938 de la tapisserie de l’Apocalypse d'Angers, datant du XVe siècle, entérine son intérêt pour l’art textile. Forçant son attention sur les formules plastiques et l’iconographie crépusculaire d’un Moyen Âge finissant, Lurçat en réalisera par ailleurs une première interprétation en 1947 pour la chapelle d’Assy en Haute-Savoie, visible à Angers aux côtés de ses sources, dont la série de l’Apocalypse gravée par Dürer. [...] Au musée des Beaux-Arts d’Angers, la présentation des cartons de son plus vaste chef-d’œuvre – inachevé –, Le Chant du monde, clôt un parcours centré sur l’impact de l’Apocalypse.

Extrait de l'article de Charlène Rioux publié dans Numéro 71 de la revue Art Absolument

Quand


11/06/2016 - 06/11/2016
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