Jean-François Maurige dans "L’atelier rouge"
L'exposition
C’est dans le XXe arrondissement de Paris qu’est installé l’atelier de Jean-François Maurige, au passage des Soupirs. Le nom de la rue donne envie de réciter « Venise la Rouge », en même temps que son travail sur le pourpre évoque le soleil volcanique de la Sérénissime vue par Visconti et réveille les carmins de Carpaccio, les incarnats du Titien, les colorations vermillons du Tintoret. Rencontre.
Quand on demande à l’artiste le processus de création qui sous-tend ses grandes toiles de feu, il parle plutôt de protocoles, de conventions, d’une méthode expérimentale et s’explique.
Jean-François Maurige : J’achète depuis 1979 en fonction des arrivages des morceaux de toile rouge au marché Saint-Pierre. Ils ne sont pas faits a priori pour la peinture. Je les encolle, les agrafe aux murs et les recouvre de blanc, puis je les monte sur châssis et je commence alors les tableaux.
Extrait de l'entretien entre Jean-François Maurige et Renaud Faroux publié dans le N°65 de la revue Art Absolument: parution le 12 mai 2015
N°65 - Mai/Juin 2015
Quand on demande à l’artiste le processus de création qui sous-tend ses grandes toiles de feu, il parle plutôt de protocoles, de conventions, d’une méthode expérimentale et s’explique.
Jean-François Maurige : J’achète depuis 1979 en fonction des arrivages des morceaux de toile rouge au marché Saint-Pierre. Ils ne sont pas faits a priori pour la peinture. Je les encolle, les agrafe aux murs et les recouvre de blanc, puis je les monte sur châssis et je commence alors les tableaux.
Extrait de l'entretien entre Jean-François Maurige et Renaud Faroux publié dans le N°65 de la revue Art Absolument: parution le 12 mai 2015
N°65 - Mai/Juin 2015
Quand
03/07/2015 - 20/09/2015