Louise Lawler
1947 (Bronxville)
Vit à : New York
Travaille à : New York
Galerie de l'artiste
Depuis les années 1980, Louise Lawler est considérée comme une figure majeure de l’appropriationnisme aux côtés de Sherrie Levine et de Cindy Sherman. Après des études d’art à l’université de Cornell à Ithaca (1963-1969), elle
s’installe à New York et travaille pour la célèbre galerie de Leo Castelli. Proche du mouvement conceptuel, elle développe, à la fin des années 1960 et au début des années 1970, un travail pictural et photographique critique. Lawler établit son style caractéristique au début des années 1980, lorsqu’elle commence à prendre des photos d’œuvres d’art exposées dans les musées, les salles de vente, les réserves, les galeries et chez les collectionneurs... Ces photographies, semblables à des mises en abyme, s’intéressent aux conditions, aux procédures d’exposition, de mise en vente et de circulation des œuvres d’art. Pas toujours bien cadrées, elles attirent notre attention sur un détail, le contexte dans lequel les œuvres sont exposées, et montrent ce que l’on n’a pas toujours l’habitude de voir : cartels, socles,- murs... Par ce travail de réappropriation et de désacralisation, Louise Lawler remet en question la valeur, la signification et l’utilisation de l’art.
Vit à : New York
Travaille à : New York
Galerie de l'artiste
Depuis les années 1980, Louise Lawler est considérée comme une figure majeure de l’appropriationnisme aux côtés de Sherrie Levine et de Cindy Sherman. Après des études d’art à l’université de Cornell à Ithaca (1963-1969), elle
s’installe à New York et travaille pour la célèbre galerie de Leo Castelli. Proche du mouvement conceptuel, elle développe, à la fin des années 1960 et au début des années 1970, un travail pictural et photographique critique. Lawler établit son style caractéristique au début des années 1980, lorsqu’elle commence à prendre des photos d’œuvres d’art exposées dans les musées, les salles de vente, les réserves, les galeries et chez les collectionneurs... Ces photographies, semblables à des mises en abyme, s’intéressent aux conditions, aux procédures d’exposition, de mise en vente et de circulation des œuvres d’art. Pas toujours bien cadrées, elles attirent notre attention sur un détail, le contexte dans lequel les œuvres sont exposées, et montrent ce que l’on n’a pas toujours l’habitude de voir : cartels, socles,- murs... Par ce travail de réappropriation et de désacralisation, Louise Lawler remet en question la valeur, la signification et l’utilisation de l’art.