Auguste Flandrin

1804 (Lyon) / 1842 (Lyon)

Sitôt leur situation faite, ses deux cadets Hyppolite et Paul engagent Auguste Flandrin dans l’atelier du maître Ingres ; il y continue une forme sage de peinture d’histoire, dont un Savonarole prêchant dans l’église de San Miniato qui nous replonge, en 1840, dans la tension d’un fanatisme recueilli, juste milieu, pour le moins éloigné des mélodrames cinémas de Delacroix.



Visuel:
Auguste Flandrin, Autoportrait, 1833,
crayon graphite et estompe sur papier
Collection particulière.
Image © Lyon MBA - Photo Martial Couderette



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Numéro 97






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