Paul Flandrin
1811 (Lyon) / 1902 (Montgeron)
Paul Flandrin mène une quête plutôt appliquée au paysage. Des pinceaux de Poussin qu’il dépoussière, il choisit l’ordonnancement sage, la lisibilité séquencée alternant masses et trouées, la palette claire et brillante, qu’il peuple d’une humanité aux mouvements suspendus des futures visions du symbolisme 1900. Il séduit, surtout par son travail sur le motif, suivant les pas de Valenciennes, avec des pochades des environs de Rome qu’il schématise encore : ici le sol, là le ciel – peu de végétation, pas plus de nuages.
Visuel:
Hippolyte Flandrin, Portrait de Paul, 1835,crayon graphite et estompe sur papier.
Collection particulière. Photo © David Billy
Paul Flandrin mène une quête plutôt appliquée au paysage. Des pinceaux de Poussin qu’il dépoussière, il choisit l’ordonnancement sage, la lisibilité séquencée alternant masses et trouées, la palette claire et brillante, qu’il peuple d’une humanité aux mouvements suspendus des futures visions du symbolisme 1900. Il séduit, surtout par son travail sur le motif, suivant les pas de Valenciennes, avec des pochades des environs de Rome qu’il schématise encore : ici le sol, là le ciel – peu de végétation, pas plus de nuages.
Visuel:
Hippolyte Flandrin, Portrait de Paul, 1835,crayon graphite et estompe sur papier.
Collection particulière. Photo © David Billy