Tal Coat - La liberté farouche de peindre

Tal Coat - La liberté farouche de peindre : Massacres, 1936 Huile sur panneau de bois parqueté 24,5 x 52,5 cm Collection de Bueil & Ract-Madoux, Paris DR © Collection particulière © ADAGP Paris 2017    Tal Coat - La liberté farouche de peindre : Dans la clarté, 1972 Huile sur toile 130 x 195 cm Collection Sylvie Baltazart-Eon Photo : Augustin de Valence, © ADAGP Paris 2017    Tal Coat - La liberté farouche de peindre : Troupeaux, 1959 Huile sur toile 51 x 100 cm	 Collection particulière, Suisse Photo : Zines Galai, © Studio Curchod, Vevey (CH), © ADAGP Paris 2017   


The exhibition


Tal Coat, « peintre des peintres » ? La rétrospective aixoise dédiée à Pierre Jacob – qui prit le nom de Tal Coat, « front de bois », dans les années 1920 – s’inscrit dans une série d’initiatives pour redonner au peintre la place qu’il mérite, encore trop rares. Parmi celles-ci, on peut compter l’ouverture en 2007 d’un centre de recherche au Domaine de Kerguéhennec, une exposition de ses œuvres l’été dernier en dialogue avec Toni Grand à la galerie Christophe Gaillard ou encore la publication d’un ouvrage majeur chez Somogy, orchestrée par Jean-Pascal Léger, qui fut son galeriste, admirateur et ami. Redonner, car Tal Coat – l’œuvre et l’homme – fut admiré par Balthus, Miró, Masson ou encore Nicolas de Staël et fit un bout de chemin en compagnie de Giacometti dans les années 1930.

Emma Noyant
Publié dans le N°81 de la revue Art Absolument.
Parution le 2 février 2018

When


18/11/2017 - 11/03/2018
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