Marlene Dumas. open-end

Marlene Dumas. open-end : Marlene Dumas, Fingers, 1999, Amsterdam, Photo : Peter Cox    Marlene Dumas. open-end : Marlene Dumas, Green Lips, 1996, In collaboration with Helena Dumas, Photo : Peter Cox    Marlene Dumas. open-end : Marlene Dumas, (from left to right) iPhone, 2018, Courtesy David Zwirner, Alien, 2017, Pinault Collection, Spring, 2017, Private collection. Courtesy David Zwirner, Amazon, 2016,   


L'exposition


Dumas quarante ans après

Éblouissant parcours monographique, Open-end va des premiers portraits familiaux d’après polaroïd de 1984 jusqu’à un petit film Super 8 sur sa fille endormie – façon Lolita – de 2022. « Beaucoup de gens croient que la représentation du sexe est le plus sûr moyen d’attirer l’attention, mais ce n’est pas tout à fait vrai », avance-t-elle. « Ne sachant comment répondre à la crise de la représentation, les peintres d’avant-garde ont délibérément ignoré ces sujets pour les abandonner aux photographes » – à l’instar de Nan Goldin. Or la peinture ne peut jamais totalement renoncer à l’érotisme. « La peinture, c’est la trace du toucher humain, continue l’artiste. Il s’agit de la peau d’une surface. »

Extrait de l'article de Emmanuel Daydé publié dans lle N°102 de la revue Art Absolument. Parution le 12 juillet 2022

Quand


27/03/2022 - 08/01/2023
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