Alexander Calder – Arbres, Désigner l’abstraction

Alexander Calder – Arbres, Désigner l’abstraction :   Alexander Calder The Tree (maquette), vers 1958 Tôle, fil de fer et peinture, 64,5 cm x 73,5 x 38 cm Calder Foundation, New York © 2013, Calder Foundation, New York / ProLitteris, Zurich    Alexander Calder – Arbres, Désigner l’abstraction :   Alexander Calder The Spider (1939), The Hairpins (1939), Sphere Pierced by Cylinders (1939), Leaves and Tripod (1939) et autres ouvrages dans l’atelier de Alexander Calder à New York, 1940 © 2013 Calder Foundation, New York / Artists Rights Society, New    Alexander Calder – Arbres, Désigner l’abstraction : Alexander Calder pendant le montage de Nine Discs (1936) à Roxbury, CT, 1938 Calder Foundation, New York © 2013, Calder Foundation, New York / ProLitteris, Zurich Photo: Herbert Matter   


L'exposition


Alexander Calder est avant tout un sculpteur du mouvement. Son œuvre repose sur les effets de la nature, qu’il découvre réellement lorsqu’il quitte Paris pour le Connecticut, en 1933. L’artiste joue sur les relations d’équilibre en plaçant des plaques d’acier au bout de tiges de fer tordu ou plié, bougeant au gré du vent. Ainsi, ses sculptures présentent une certaine abstraction géométrique tout en incarnant des éléments de la nature, tels que les arbres. Plusieurs sculptures monumentales destinées à des emplacements publics comme des places ou des édifices sont réalisées dans cet esprit.
L’exposition s’ouvre sur un groupe Stabiles-Mobiles, maquette de deux mètres de haut créée pour le zoo du Bronx. Cet arbre gigantesque était destiné à la cage des félins, mais le projet n’a pu aboutir, permettant à l’œuvre de parcourir le monde, et de témoigner du génie d’Alexander Calder.

Marie Orenes

Quand


08/06/2013 - 12/01/2014
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