Marlene Dumas. open-end
L'exposition
Dumas quarante ans après
Éblouissant parcours monographique, Open-end va des premiers portraits familiaux d’après polaroïd de 1984 jusqu’à un petit film Super 8 sur sa fille endormie – façon Lolita – de 2022. « Beaucoup de gens croient que la représentation du sexe est le plus sûr moyen d’attirer l’attention, mais ce n’est pas tout à fait vrai », avance-t-elle. « Ne sachant comment répondre à la crise de la représentation, les peintres d’avant-garde ont délibérément ignoré ces sujets pour les abandonner aux photographes » – à l’instar de Nan Goldin. Or la peinture ne peut jamais totalement renoncer à l’érotisme. « La peinture, c’est la trace du toucher humain, continue l’artiste. Il s’agit de la peau d’une surface. »
Extrait de l'article de Emmanuel Daydé publié dans lle N°102 de la revue Art Absolument. Parution le 12 juillet 2022
Éblouissant parcours monographique, Open-end va des premiers portraits familiaux d’après polaroïd de 1984 jusqu’à un petit film Super 8 sur sa fille endormie – façon Lolita – de 2022. « Beaucoup de gens croient que la représentation du sexe est le plus sûr moyen d’attirer l’attention, mais ce n’est pas tout à fait vrai », avance-t-elle. « Ne sachant comment répondre à la crise de la représentation, les peintres d’avant-garde ont délibérément ignoré ces sujets pour les abandonner aux photographes » – à l’instar de Nan Goldin. Or la peinture ne peut jamais totalement renoncer à l’érotisme. « La peinture, c’est la trace du toucher humain, continue l’artiste. Il s’agit de la peau d’une surface. »
Extrait de l'article de Emmanuel Daydé publié dans lle N°102 de la revue Art Absolument. Parution le 12 juillet 2022
Quand
27/03/2022 - 08/01/2023