La beauté en partage, 15 ans d'acquisitions au musée Fabre

La beauté en partage, 15 ans d'acquisitions au musée Fabre : Filippo Vitale. Judith et Holopherne. Vers 1635, huile sur toile, 126 x 154 cm. Musée Fabre, Montpellier    La beauté en partage, 15 ans d'acquisitions au musée Fabre : Martin Barré. 60-T-26. 1960, huile sur toile, 140,5 x 130,5 cm. Musée Fabre, Montpellier.   


L'exposition


Réouvert en 2007 avec un nouvel écrin liant ville, ancien collège jésuite, hôtel particulier du XVIII e siècle et jusqu’à un « pavillon de lumière » contemporain – accueillant une donation tout juste effectuée alors par Soulages –, le musée Fabre s’enorgueillit à raison, le temps d’une exposition, de quinze années de politique d’acquisitions.

Le musée montpelliérain pouvait compter la minutie des Hollandais Gabriel Metsu ou Gerrit Dou, la rigueur expressive de Zurbaran ou les beaux ensembles de Bazille et Courbet parmi les phares de sa collection. À ceux-là – et à une collection largement pour vue – pourront désormais s’ajouter le spectacle cruellement séduisant d’un Judith et Holopherne (vers 1635) du Napolitain Filippo Vitale, la sensibi - lité décorative avec laquelle GeorgeDaniel de Monfreid dépeint à la fin du XIX e siècle son ami peintre René Andreau – parmi ses six toiles acquises depuis 2017 – ou encore une rêveuse Mariuccia (1841), jeune modèle peinte à Rome par Henri Lehmann.

Extrait de l'article de Tom Laurent publié dans le n°99 de la revue Art Absolument.

Quand


15/12/2021 - 06/12/2021
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