La Pente de la rêverie

La Pente de la rêverie : Victor Hugo. LLa ville morte. Plume et lavis dencre brune, lavis dencre noire, fusain, crayon noir, grattages, réserves, pochoir,  maison de Victor Hugo    La Pente de la rêverie : Anne Slacik. La Pente de la réverie V. 2016, huile et pigments sur toile Paris, collection de lartiste, Jean-Louis Losi   


L'exposition


« Amis, ne creusez pas vos chères rêveries », nous met en garde Victor Hugo dès le premier vers de l’aîné de ses poèmes visionnaires intitulé La Pente de la rêverie, où il annonce pour Baudelaire « le souffle grandiose et lyrique des grands poèmes de l’exil ». Dans le souci de ne pas entraver l’imaginaire du lecteur, l’exposition se garde de toute analyse académique et offre visions et échos de cette épopée fantasque en alexandrins. « La spirale est profonde » et le rythme soutenu : quand Hugo compose son poème, des images propres à la contemplation, vedute et autres descriptions d'architectures antiques, stupéfiantes et apocalyptiques nourrissent les mots des Occidentaux.

Extrait de l'article de Charlène Rioux dans le N°75 de la revue.

Quand


17/11/2016 - 30/04/2017
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