« Comme une brise d’accalmie », titre Jean-Marc Cerino, reprenant les mots de Jean-Christophe Bailly à propos de l’ensemble qu’il avait montré en 2013 à Paris, à la galerie Bernard Ceysson. En éludant le terme « étrange » qui qualifiait chez Bailly cette brise relative à la « tempête du progrès » que Walter Benjamin a pu désigner comme marche de l’histoire. Jean-Marc Cerino peut l’expliquer : « Cette exposition prolonge le travail de peintures de verre visible à Paris, mais l’ensemble des évènements de 2015 ont suscité ce besoin d’"accalmie", avec la persistance d’un sentiment de lendemain étrange. »

Extrait de l'article de Tom Laurent dans le Numéro 71 de la revue Art Absolument.

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