Zao Wou-Ki ou le bonheur de peindre

Zao Wou-Ki ou le bonheur de peindre : Sans titre 1972 Encre de Chine sur papier 66,5 x 119,5 cm Collection particulière Photo Antoine Mercier © Zao Wou-Ki – 2015, ProLitteris, Zurich    Zao Wou-Ki ou le bonheur de peindre : 04.05.64 1964 Huile sur toile 200 x 260 cm Centre Georges Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris Photo Collection Centre Pompidou, Dist. RMNGeorges Meguerditchian © Zao Wou-Ki – 2015, ProLitteris, Zurich    Zao Wou-Ki ou le bonheur de peindre : Hommage à Edgar Varèse - 25.10.64 1964 Huile sur toile 255 x 345 cm Musée cantonal des Beaux-Arts de Lausanne. Donation Françoise Marquet, 2015 Photo Dennis Bouchard © Zao Wou-Ki – 2015, ProLitteris, Zurich   


L'exposition


Le voyage à la fondation Gianadda promet toujours de grandes émotions esthétiques, comme dans cette première rétrospective Zao Wou-ki en Suisse, « oasis salutaire dans un monde meurtri » selon son ami Dominique de Villepin, ancien premier ministre, ou « symphonie silencieuse composée par un mélomane » pour Gao Xingjian, prix Nobel de littérature. À partir d’une série d’œuvres sur papier et d’une cinquantaine de toiles (la plupart issues de collections privées) dont un ensemble exceptionnel de diptyques et triptyques monumentaux, le commissaire Daniel Marchesseau dévoile l’univers d’un artiste chinois imprégné d’Occident, maître incontesté de l’abstraction lyrique au XXe siècle et de l’union harmonieuse entre l’avant-garde européenne et la tradition chinoise. [...]

Extrait de l'article de Pascale Lismonde paru dans le numéro 69

Quand


04/12/2015 - 12/06/2016
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