Céleste Boursier-Mougenot : Rêvolutions
L'exposition
Emmanuel Daydé : Plasticien sonore depuis près de vingt ans, vous appliquez une démarche « compositionnelle » à vos œuvres plastiques. Vous définissez-vous toujours comme « musicien » ?
Céleste Boursier-Mougenot : Vous ne pensez tout de même pas qu’il faille faire des études musicales pour être musicien ! Aujourd’hui, les choses ne se posent plus de la même façon mais longtemps, c’est vrai, je me suis destiné à la musique. Enfant, je suis allé au conservatoire de Nice. Mais je n’y ai pas vraiment suivi des études, j’y ai plutôt fait des expériences. Je suis resté dans la même classe de solfège en recommençant tous les ans sur un nouvel instrument. Ce qui me plaisait, c’était de pouvoir manipuler un violon, un piano ou un saxophone, de les regarder, de les tenir et de pouvoir en émettre des sons.
Extrait de l'entretien entre Céleste Boursier-Mougenot et Emmanuel Daydé publié dans le N°65 de la revue Art Absolument: parution le 12 mai 2015
N°65 - Mai/Juin 2015
Céleste Boursier-Mougenot : Vous ne pensez tout de même pas qu’il faille faire des études musicales pour être musicien ! Aujourd’hui, les choses ne se posent plus de la même façon mais longtemps, c’est vrai, je me suis destiné à la musique. Enfant, je suis allé au conservatoire de Nice. Mais je n’y ai pas vraiment suivi des études, j’y ai plutôt fait des expériences. Je suis resté dans la même classe de solfège en recommençant tous les ans sur un nouvel instrument. Ce qui me plaisait, c’était de pouvoir manipuler un violon, un piano ou un saxophone, de les regarder, de les tenir et de pouvoir en émettre des sons.
Extrait de l'entretien entre Céleste Boursier-Mougenot et Emmanuel Daydé publié dans le N°65 de la revue Art Absolument: parution le 12 mai 2015
N°65 - Mai/Juin 2015
Quand
09/05/2015 - 22/11/2015