Christian Boltanski : « Il fera froid à l’intérieur du Grand Palais et cela fait partie de l’œuvre. Il y aura aussi un son fort et désagréable. Le spectateur sera plongé à l’intérieur d’un univers qu’il ressentira par tous les sens. C’est une constante dans mon travail. (…) La pièce du Grand Palais parlera aussi du hasard et de la main de Dieu. Mes paraboles à moi sont sonores, visuelles, et se déploient dans l’espace. (…) »Extrait de l’entretien avec Elisabeth Couturier paru dans la revue Art Absolument N°33 ( janvier- février 2010)

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