[…] Pour Coskun, la réalisation d’une sculpture se doit d’être de l’ordre du jeté et de la pulsion vitale, et le caractère « fini » d’une œuvre mis de côté. Cette participation au processus du vivant, le surgissement de ses figures hybrides au sein d’un support organique, possédant lui-même son histoire, perpétue le travail de la nature en le prolongeant dans le champ de l’imaginaire. […]

Extrait de l’article de Claire Roger publié dans le N°53 de la revue Art Absolument : parution le 3 mai 2013

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