L’exposition met en lumière les différentes images de l’artiste au cours du XIXe siècle, époque traduisant de manière cruciale les nombreuses fluctuations de son statut vis-à-vis du monde. Le parcours montre ainsi comment les divers enjeux socioculturels s’inscrivent dans sa représentation : la pratique de l’autoportrait et les portraits collectifs au sein des ateliers, à l’exemple de l’œuvre de François-Louis Dejuinne intitulée Portrait de Girodet peignant Pygmalion et Galatée (1821), reflètent la manière dont cet aspect documentaire s’attache ici à un imaginaire, renforcé par un système de mythes ancrés dans le siècle.

Mónica Moreno Botero

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